Résumé :

En marge de l'oeuvre romanesque de Burroughs, Le métro blanc rassemble des textes rares, publiés dans de petits magazines underground éphémères. Burroughs a en effet inventé un contre-journalisme destructeur, parasitant et piratant les tics des grands magazines. Complété de deux textes plus personnels, Cobble Stone Gardens, souvenirs en forme d'hommage à ses parents, et Journaux de retraite, où il mêle rêves et réflexions, ce volume constitue ainsi une mise en perspective de son oeuvre la plus radicale, produite à coups de cut-ups et autres procédés d'attaque.