Description :

Depuis une dizaine d'années, Fabcaro trace sa route d'auteur à travers des bandes dessinées pleines d'humour et d'autodérision, oscillant entre autobiographie et rire grinçant, seul ou officiant au scénario pour d'autres.En décembre 2011, lors d'un atelier en pays Cathare, il croise la route d'une jeune plasticienne en résidence, originaire de Cuzco, qui, selon lui, « dégageait une énergie qu'on sentait jaillie de cette terre lointaine dont je ne savais rien ». Entre eux va naître une forte complicité artistique et humaine. Dès lors, il n'a qu'une obsession : se rendre dans ce pays. Ce qu'il finira par faire en juillet 2012, s'engageant dans un périple qu'il souhaite le moins préparé possible afin d'en conserver toute l'authenticité, la virginité du voyageur qui a tout à découvrir, refusant d'être parasité par les clichés et les préjugés. Il va alors s'immerger dans un univers fascinant dont il découvre jour après jour la richesse et la diversité des mythes, rites et croyances. Il va croiser des destins, s'émouvoir, tisser des liens forts mais aussi approfondir une culture indigène dont les détails pittoresques le feront plonger dans une altérité salvatrice. Il en reviendra profondément transformé. Jusque dans son travail : changeant de cap et délaissant l'humour qui était jusque là sa marque de fabrique, pour ramener un carnet poignant et plein d'humanité, vrai voyage philosophique aux portes d'un ancien monde qui n'a pas encore été entièrement submergé par la modernité.Ainsi, ce Carnet du Pérou est aussi la description du parcours d'un homme profondément remué dans ses fondements et ses certitudes, à l'orée d'un revirement artistique salvateur, découvrant que l'autobiographie peut être aussi un exercice ouvert sur le monde, tourné vers l'autre plutôt que sur soi. Apprendre enfin à se décentrer afin de devenir un modeste passeur, témoin de trésors insoupçonnés d'humanité dont regorge l'extérieur.Néanmoins, s'agissant de Fabcaro, il faut quand même s'attendre à tout.Sélection officielle du 41e Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême.

4e de couverture :

Depuis une dizaine d'années, Fabcaro trace sa route d'auteur à travers des bandes dessinées pleines d'humour et d'autodérision, oscillant entre autobiographie et rire grinçant, seul ou officiant au scénario pour d'autres.En décembre 2011, lors d'un atelier en pays Cathare, il croise la route d'une jeune plasticienne en résidence, originaire de Cuzco, qui, selon lui, « dégageait une énergie qu'on sentait jaillie de cette terre lointaine dont je ne savais rien ». Entre eux va naître une forte complicité artistique et humaine. Dès lors, il n'a qu'une obsession : se rendre dans ce pays. Ce qu'il finira par faire en juillet 2012, s'engageant dans un périple qu'il souhaite le moins préparé possible afin d'en conserver toute l'authenticité, la virginité du voyageur qui a tout à découvrir, refusant d'être parasité par les clichés et les préjugés. Il va alors s'immerger dans un univers fascinant dont il découvre jour après jour la richesse et la diversité des mythes, rites et croyances. Il va croiser des destins, s'émouvoir, tisser des liens forts mais aussi approfondir une culture indigène dont les détails pittoresques le feront plonger dans une altérité salvatrice. Il en reviendra profondément transformé. Jusque dans son travail : changeant de cap et délaissant l'humour qui était jusque là sa marque de fabrique, pour ramener un carnet poignant et plein d'humanité, vrai voyage philosophique aux portes d'un ancien monde qui n'a pas encore été entièrement submergé par la modernité.Ainsi, ce Carnet du Pérou est aussi la description du parcours d'un homme profondément remué dans ses fondements et ses certitudes, à l'orée d'un revirement artistique salvateur, découvrant que l'autobiographie peut être aussi un exercice ouvert sur le monde, tourné vers l'autre plutôt que sur soi. Apprendre enfin à se décentrer afin de devenir un modeste passeur, témoin de trésors insoupçonnés d'humanité dont regorge l'extérieur.Néanmoins, s'agissant de Fabcaro, il faut quand même s'attendre à tout.Sélection officielle du 41e Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême.