Description :
La victoire du Christ contre la mort n'a supprimé ni la mort, ni son auteur, le diable : elle n'a pas transformé ce monde déchu en une sorte de paradis de seconde classe. Non moins que la souffrance, la mort demeure vissée à la condition humaine. Plus encore que la souffrance, la mort a un caractère ambivalent et paradoxal. Ennemi qu'il faut détruire, la mort est redoutable, anormale et effroyable. Elle est aussi tragique et unique. Simultanément, elle révèle le sens de cette vie en Christ, elle promet et elle porte la résurrection. Le Christ a rassuré Marthe en lui disant que son frère Lazare ressuscitera mais, quelques instants plus tard, devant son tombeau, Il a pleuré.
Notice biographique :
Michel Simion est un essayiste, traducteur de textes théologiques et professeur en relations internationales. Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, il est également titulaire d'une licence de l'Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge de Paris. À partir de 2013, il se consacre exclusivement à la théologie orthodoxe et à son rayonnement en France.
Notes Biographiques :
Michel Simion est un essayiste, traducteur de textes théologiques et professeur en relations internationales. Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, il est également titulaire d'une licence de l'Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge de Paris. À partir de 2013, il se consacre exclusivement à la théologie orthodoxe et à son rayonnement en France.