Description :
Fondé sur des faits réels de la terre natale de l'auteur, le Henan, ce livre flamboyant s'ouvre sur la mort et se clôt par la naissance.
Depuis toujours, les habitants d'un village perdu au coeur des montagnes luttent pour survivre à une maladie qui les emporte avant quarante ans.
Depuis toujours Sima Lan, le chef du village, aime d'un amour fou la douce Sishi.
Aujourd'hui Sima Lan se meurt et le cours du temps s'inverse pour remonter vers les causes premières, en un cheminement qui est celui des combats opiniâtres qu'ont depuis toujours livrés les hommes pour assurer leur maîtrise sur le monde et leur propre survie.
Car ce que célèbre ce livre, ce n'est pas la victoire impossible de l'homme sur la mort, mais le courage, l'obstination avec lesquels ces villageois, portés par une immense force collective, entreprennent, à chaque génération, de titanesques travaux pour conjurer le mal qui empoisonne leur terre et leur eau, leur capacité à puiser au plus profond d'eux-mêmes aux sources de la vie, et de l'amour, dans l'espoir de continuer à entendre bruire la lumière et respirer l'odeur verte de la sève au printemps.
4e de couverture :
Fondé sur des faits réels de la terre natale de l'auteur, le Henan, ce livre flamboyant s'ouvre sur la mort et se clôt par la naissance.
Depuis toujours, les habitants d'un village perdu au coeur des montagnes luttent pour survivre à une maladie qui les emporte avant quarante ans.
Depuis toujours Sima Lan, le chef du village, aime d'un amour fou la douce Sishi.
Aujourd'hui Sima Lan se meurt et le cours du temps s'inverse pour remonter vers les causes premières, en un cheminement qui est celui des combats opiniâtres qu'ont depuis toujours livrés les hommes pour assurer leur maîtrise sur le monde et leur propre survie.
Car ce que célèbre ce livre, ce n'est pas la victoire impossible de l'homme sur la mort, mais le courage, l'obstination avec lesquels ces villageois, portés par une immense force collective, entreprennent, à chaque génération, de titanesques travaux pour conjurer le mal qui empoisonne leur terre et leur eau, leur capacité à puiser au plus profond d'eux-mêmes aux sources de la vie, et de l'amour, dans l'espoir de continuer à entendre bruire la lumière et respirer l'odeur verte de la sève au printemps.